L’argent, c’est un peu taboo en France. Aux USA, ca l’est un peu moins. On veut devenir plus riche, s’éduquer, avoir une promotion ou changer de job, grandir le business, investir dans le stock, acheter de l’immobilier, faire nos “six figures”, et accumuler assez de cash, de dineros, de racks pour pouvoir avoir un jour une retraite! Ce qui est cool, c’est qu’aux Etats-Unis c’est possible de gagner plus d’argent. Mais du coup, il est aussi facile de tomber dans la “Rat Race”!
Pour ce blog, j’ai décidé que j’allais parlé d’argent parce que ce serait un peu dommage de parler de réussite aux USA sans parler de l’un des facteurs de réussite les plus populaires – l’argent. Après, je ne suis pas obsédé par l’argent, ce n’est pas mon unique critère de réussite. Ma position est: “L’ argent ca ne fait pas le bonheur, mais ca y contribue”. Donc voila, je posterai régulièrement des posts “Money talk” pour évaluer ma situation financière et voir les progrès et comment le Rêve Américain se met en marche…ou pas!
Et donc voila comment j’ai commencé à 21 ans:
- Compte Retraite: 0%
- Investissement immobilier: 0%
- Revenus business: 0%
- College savings for my 2 kids: $0
- Savings: $25
- Emergency funds: $100
- Aide de ma mère: $6000 (pour payer le Community College)
Donc je remercie bien sûr le destin qui m’a fait naître dans une famille qui a pu me payer un Community College. Mais sinon, c’était un peu la galère. Et comme on le sait tous, les Etats-Unis ce n’est pas vraiment le pays des aides sociales, donc il a fallu etre débrouillarde pour s’en sortir avec 2 enfants et pas d’autorisation de travailler!
Bon à savoir: Je vais parler de ma situation personnelle mais je vis en couple. Je ne suis pas toute seule a m’occuper des enfants, a payer le loyer, les factures, etc…Au début, mon partenaire gagnait assez pour payer le loyer, l’éléctricité, l’eau, internet, et à manger. C’était un peu la galère mais au moins on avait un toit et à manger. Par contre pas d’assurance santé, pas d’argent pour l’essence de notre vieille voiture, pas de budget pour les habits, des chaussures, sorties, etc…c’était pas facile. Les progrès financiers dont je parle sont les miens uniquemment et pas ceux de mon partenaire.